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L’évaluation en Suisse romande – Episode 6

L’évaluation en Suisse romande

Notre série sur les acteurs et les actrices de l’évaluation continue avec Serdaly&Ankers dont l’équipe a répondu au quatre questions du comité du GREVAL.

Serdaly&Ankers snc est un bureau romand d’accompagnement et d’évaluation de l’action publique fondé en 2011, basé à Genève. Il accompagne ses clients – principalement des collectivités ou des organisations des champs santé, social ou de l’économie sociale et solidaire – dans leurs projets stratégiques, de développement organisationnel et leurs évaluations, en favorisant des solutions fondées sur la participation et plus largement, l’intelligence collective.

Le bureau travaille régulièrement avec un réseau de partenaires, dont Ecoplan SA pour ses mandats nationaux.

1. Votre vision de l’évaluation en 2 phrases :

Naviguer à travers la complexité du monde actuel requiert de nouvelles approches. Nous concevons l’évaluation comme un processus dynamique et participatif, visant à améliorer en continu, en particulier l’action publique en l’adaptant aux besoins réels de la population. Avec cette approche, nous favorisons des formes d’évaluation qui permettent l’adaptation des projets au fil de leur mise en œuvre, assurent leur pertinence et l’adhésion des acteurs.

 2. Ce qui vous motive dans ce métier :

Nous sommes animés par la conviction que la qualité de l’action publique est essentielle pour la durabilité du contrat social et de notre démocratie. Contribuer à une action publique humaine, équitable, performante et durable, en collaboration avec les collectivités, leurs institutions et les entreprises sociales, est au cœur de notre engagement.

3. L’évaluation que vous rêveriez de réaliser :

Nous rêvons d’une évaluation développementale menée pour une organisation qui souhaiterait transformer radicalement son fonctionnement pour devenir non seulement durable, mais véritablement régénérative, par exemple en intégrant une dimension comme le bonheur au travail. L’objectif serait alors de ne pas simplement préserver le personnel, mais de créer des espaces où l’épanouissement individuel et collectif nourrirait une culture organisationnelle vivante, apprenante, innovante et profondément humaine.

 4. Le challenge pour l’évaluation en Suisse romande :

Dans des contextes complexes et incertains et dans un souci de garantir la pertinence de leur action, il est crucial que les porteuses et porteurs de projet développent une culture de l’(auto)évaluation.


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